Le plus gros du travail des plâtriers consiste à assembler des plaques pour habiller des surfaces selon un plan défini. L'enduisage, le lissage et la pose des joints de ces plaques lui reviennent, ainsi que le montage de cloisons ou de faux plafonds.
Tous ces travaux ont pour objectif de préparer les bâtiments pour leur apparence visuelle et décorative.
C'est ce qui leur confère le qualificatif de travaux du second œuvre. De prime abord, on pourrait penser à minimiser les risques qui pourraient être inhérents à ces prestations. Mais à y voir de plus près, ils sont nombreux. Risque de décollement ou de fissure des plaques, risques liés aux produits chimiques, au bruit… le compte en est grand. Voici pourquoi la loi exige que le plâtrier soit couvert, tout comme d'autres professionnels du bâtiment, par une assurance. Cette assurance le protège lui-même et protège ses clients.
La couverture d’assurance pour
un plâtrier
Le plâtrier, aussi appelé plâtrier plaquiste, intervient au quotidien sur des chantiers de construction et de rénovation. Son travail consiste à poser des plâtres et à embellir en intérieur différentes faces d'un bâtiment. Il est exposé, comme d'autres professionnels du bâtiment, à divers risques professionnels. Pour couvrir ces risques, il existe divers types d'assurances. Certaines sont obligatoires et d'autres facultatives. Voici le point de ce qu'il faut en savoir.
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